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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 07:04

ISSA ABDELMEDJID MANSOUR est un homme politique libyen.
fut oppose a khadaffi des annees a l'etranger contre le regime dictateur.
et puis entre en libye grace a la revolution populaire du 17 fevrier. l'un de fondateur de cette manifestation du masse a bengazi ainsi de suite en liberant toute libye. issa est chef supreme du toubou en libye plus consutant important de la communaute toubou du monde entier.
la libye et ses libyens raciste arabe n'aime pas la peau noire ont toujours meme mentalite ne change plus a cause de mort de ghadaffi.


issa est un homme de vision ,il savait bien c'est que les arabes libyens pensent.
a plusieur reprise, qu'il a avertis aux toubous d,etre prudent sur extermination de toubou par arabes.
apres multiple attaque des arabes contre toubou a sebha puis a koufra meme sur internet.
a cause de cet genocide envers toubou issa meme decide de battre pour avoir un pays autonome.
la cause est quoi alors?
la cause est belle et bien extermination ou expulsion toubou hors libye.
car, toubou sont installe leur sultan en libye avant prophete mahamat.
a cet epoque les arabes raciste ne viennent que pour acheter esclave contre leur fille.
les esclaves ont vendu par toubou, achete par arabes et libere par la colonisation europeenne. maintenant sont accepte esclavagisme et obeir les ordres des arabes contre leur frere ont meme couleur contre toubou.

je disais merde d'etre noir en libye pour etre accepte le vrai esclave des arabes.

Issa abdelmajid mansour est un homme politique libyen.
fut oppose a khadaffi des annees a l'etranger contre le regime dictateur.
et puis entre en libye grace a la revolution populaire du 17 fevrier. l'un de fondateur de cette manifestation du masse a bengazi ainsi de suite en liberant toute libye. issa est chef supreme du toubou en libye plus consutant important de la communaute toubou du monde entier.
la libye et ses libyens raciste arabe n'aime pas la peau noire ont toujours meme mentalite ne change plus a cause de la mort de ghadaffi.
issa est un homme de vision ,il savait bien c'est que les arabes libyens pensent.
a plusieur reprise, qu'il a avertis aux toubous d,etre prudent sur extermination de toubou par arabes.
apres multiple attaque des arabes contre toubou a sebha puis a koufra meme sur internet.
a cause de cet genocide envers toubou issa meme decide de battre pour avoir un pays autonome.
la cause est quoi alors?
la cause est belle et bien extermination ou expulsion toubou hors libye.
car, toubou sont installe leur sultan en libye avant prophete mahamat.
a cet epoque les arabes raciste ne viennent que pour acheter esclave contre leur fille.
les esclaves ont vendu par toubou, achete par arabes et libere par la colonisation europeenne. maintenant sont accepte esclavagisme et obeir les ordres des arabes contre leur frere ont meme couleur contre toubou.

1- les toubou traite que toute qui ont la peau noir comme son frere.
2- les toubou n'accepte pas son frere noir est torture devant lui par arabe.
3- les toubou savent bien leur passer et leur future pas comme les autre noir parcequ'ils ont origine juif.
4- si quelqu'un le trahit une fois toubou n'oublierons jamais.
5-si les noirs du sud libye savaient, vont accepter aux toubou pour vivre en noblesse au lieu d'etre esclave des arabes pour toujours.
si vous connaissez quelque choses! alors, pourquoi les ethnies arabes traitent toujours comme leur esclaves?
la reponse est votre oui, mon patron.
cet oui, qui vous amenez toujours vers une inferiorite infini.
sinon, nous sommes tous des africains noirs meme toubou.
alors pourquoi vous acceptez votre terre africaine au venant de golfe arabe?
parceque nous n'avons pas union des noirs en libye.
d'une part les fezzan noir vous avez raison.
parceque vous n'avez pas vecu un moment dur, normalement vos grands peres vont dire l'histoire vecu par les arabes contre noirs.
un arabe veut deplacer va monter sur quatres noirs.
donc comment vous accepter avec cette prison des arabes?
actuellement les arabes racistes disent que les noirs sont des tchadiens,nigeriens...
mais! d'ailleur les arabes racistes libyen ne sont pas africain.
seulement occupee notre terre. encore qui veulent exterminer les noirs en libye.
que grand dieu protege les noirs en libye.
je vous direz une fois de plus aux noirs du fezzan.
etre toubou c'est tres facile d'etre pure qu'un arabe sans trace

 

عيسى عبد المجيد منصور هو سياسي ليبي

كان يعارض القذافي في السنة في الخارج ضد نظام دكتاتور.
ثم يدخل ليبيا وذلك بفضل الثورة الشعبية 17 فبراير شباط. مؤسس حدث من كتلة بنغازي هلم جرا تحرير كل ليبيا. عيسى هو الرئيس الأعلى للالتبو في ليبيا إستشاري أكثر أهمية للمجتمع التبو في جميع أنحاء العالم.
ليبيا والعنصرية العربية الليبية لا أحب جلد أسود دائما لا يتغير نفس العقلية بسبب موت القذافى.


عيسى هو رجل من الرؤية، وكان يعلم أن التفكير العربية الليبية.
عدة مرات في الانتعاش، وحذر من التبو، وتوخي الحذر حول التبو إبادة من قبل العرب.
بعد هجمات متعددة ضد العرب التبو لديه سبها ثم الكفرة حتى على شبكة الانترنت.
بسبب هذه الإبادة الجماعية لالتبو عيسى حتى قررت أن النضال من أجل دولة مستقلة.
ثم ما هو السبب؟
هذه القضية هو إبادة لطيفة وجيدا أو طرد التبو ليبيا.
لأن استقر بهم سلطان التبو في ليبيا قبل النبي محمد.
هذه الحقبة كانت العنصرية العربية تأتي فقط لشراء العبيد ضد ابنتهما.
تم بيع العبيد من قبل التبو، المشتراة من قبل العرب وتفرج عن الاستعمار الأوروبي. الآن يتم قبول العبودية والانصياع لأوامر من العرب ضد أخيهم لها نفس اللون ضد التبو.

.قلت القرف تكون سوداء في ليبيا توافق على أن تكون عبدا العربية الحقيقية

1 - التبو يعامل أي الذين لديهم بشرة سوداء مثل شقيقه.
2 - التبو لا تقبل شقيقه الأسود هو التعذيب له من قبل العربية.
3 - التبو يعرفون جيدا وقضاء مستقبلهم مثل أي صعوبات سوداء أخرى لأنها أصل يهودي.
4 - اذا كان هناك من يخون مرة واحدة التبو ننسى أبدا.
5 إذا تعرف السود في جنوب ليبيا، وسوف توافق على العيش في نبل التبو بدلا من أن تكون من الرقيق العرب إلى الأبد.
إذا كنت تعرف بعض الأشياء! فلماذا القبائل العربية نتعامل دائما لهم كعبيد؟
الجواب هو نعم لك يا رب بلدي.
أن نعم، عليك أن تحضر دائما إلى الدونية لانهائية.
خلاف ذلك، ونحن حتى جميع الأفارقة السود التبو.
فلماذا تقبلون الأراضي الأفريقية الخاص بك من الخليج العربي؟
لأننا لم يكن لديك السود الاتحاد في ليبيا.
من جهة فزان الأسود كنت على حق.
لأنك لم عاش وقتا عصيبا، وعادة ما أجدادك يحكي قصة يعيشها العرب ضد السود.
العربي يريد أن خطوة ترتفع على أربعة السود.
إذا كيف يمكنك أن تقبل هذا السجن مع العربي؟
العنصرية العربية حاليا قائلا ان السود هم التشاديين، النيجيريين ...
ولكن! راجع للشغل العنصريين العربية الليبية ليست الأفريقية.
احتلت أرضنا فقط. الذين ما زالوا يريدون إبادة السود في ليبيا.
الله العظيم أن يحمي السود في ليبيا.......

 


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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 01:46

robert mougabé
robert mougabé
president de la republique du zambabwé ; un homme fort pour defendre les interets et richesses Africain contre les occidentaux

Robert Gabriel Mugabe, né le 21 février 1924 en Rhodésie du Sud, est un homme politique zimbabwéen. Après avoir été Premier ministre de 1980 à 1987, il est élu président de la République le 31 décembre 1987, date à partir de laquelle le régime prend un tournant dictatorial. Il est le plus âgé des chefs d'État d'Afrique en exercice.

Longtemps considéré comme l'un des « pères de l’indépendance » de l'ancienne Rhodésie du Sud, l'ancien chef de guérilla a plongé l'ancien grenier à blé de l'Afrique dans la dictature et, depuis le début des années 2000, dans l'hyperinflation et la pénurie alimentaire la plus grave de l'histoire du pays1,2

Fils d'un immigré du Nyassaland, Robert Mugabe grandit à la mission catholique jésuite de Kutama au nord-est de la capitale Salisbury. Son père abandonnant le foyer familial alors qu'il n'a que 10 ans, Robert Mugabe est élevé par sa mère dont il est très proche. Enfant solitaire, il manifeste un goût prononcé pour la lecture et les études. Il est issu de l'ethnie majoritaire des Shonas.

Éducation[modifier]

Diplômé en enseignement à l'âge de 17 ans, il rejoint l'Université de Fort Hare en Afrique du Sud pour y étudier l'anglais et l'histoire. Il y côtoie Julius Nyerere, Herbert Chitepo, Robert Sobukwe et Kenneth Kaunda.

Il est diplômé en 1951 puis poursuit ses études à Driefontein en 1952, à Salisbury (1953), à Gwelo (1954) et au Tanganyika (1955-1957). Il obtient par correspondance une licence en enseignement à l'Université d'Afrique du Sud et une licence d'économie à l'Université de Londres. Il enseigne pendant trois ans à Lusaka, capitale de la Rhodésie du Nord, puis à Accra au Ghana, première colonie d'Afrique ayant accédé à l'indépendance, où il s'éprend d'une collègue, Sally Hayfron, sa première femme qu'il épouse en 1961.

En plus de ses sept diplômes académiques, il n'hésite pas à dire qu'il est « diplômé en violence »4.

Le chef de guérilla en Rhodésie du Sud[modifier]

En 1960, Robert Mugabe revient en Rhodésie du Sud, converti à l'idéologie marxiste et se déclarant « marxiste-léniniste-maoïste »5. Il se joint au Ndébélé6 Joshua Nkomo et au Parti national démocratique (National Democratic Party – NDP), qui devient par la suite Zimbabwe African Peoples Union (ZAPU), immédiatement interdit par le gouvernement blanc de Ian Smith.

En 1963, Mugabe, shona, crée son propre parti, le Zimbabwe African National Union (ZANU), avec le révérend Ndabaningi Sithole et l'avocat Herbert Chitepo. Il en devient secrétaire général. La ZANU et la ZAPU seront longtemps séparés par cette frontière ethnique entre Shonas et Ndébélés.

En 1964, il est arrêté avec d'autres chefs de file nationalistes et jeté en prison pendant dix ans. Il en profite pour étudier le droit et consolider son influence sur le mouvement nationaliste. En 1966, il perd son fils mais se voit refuser une permission pour l'enterrement, ce qui attise sa haine du régime de Salisbury.

Relâché par Ian Smith en 1974, sous les pressions de John Vorster, le premier ministre d'Afrique du Sud il quitte la Rhodésie pour le Mozambique où il prend la direction de la branche militaire de la ZANU, la ZANLA (Zimbabwe African National Liberation Army), pour mener la guérilla contre le gouvernement de Ian Smith.

Le 18 mars 1975, Herbert Chitepo est assassiné en Zambie dans un attentat à la voiture piégée et Mugabe peut alors prendre le contrôle de la ZANU tandis que le révérend Ndabaningi Sithole renonce au combat armé.

Le 3 mars 1978, les accords de Salisbury signés par Ian Smith avec des dirigeants noirs modérés comme Abel Muzorewa et Ndabaningi Sithole aboutissent au principe d'élections multiraciales et à la fin de la domination blanche.

Les élections d'avril 1979 sont remportées par l'UANC de Canaan Banana et d'Abel Muzorewa, l'UANC étant le seul parti noir ayant renoncé à la violence et autorisé ainsi à concourir. Abel Muzorewa devient le nouveau premier ministre de la nouvelle Zimbabwe-Rhodésie le 1er juin 1979. Cependant, le nouveau régime n'obtient pas de reconnaissance internationale du fait des restrictions imposées aux autres partis politiques noirs n'ayant pu participer aux élections.

En décembre 1979, le pays redevient la colonie britannique de Rhodésie du Sud et les accords de Lancaster House signés à la fin du mois aboutissent à un accord général dont l'octroi de garanties économiques et politiques pour la minorité blanche et des élections multiraciales prévues pour février 1980. Après une campagne électorale marquée par des intimidations de toutes parts, l'intrusion des forces de sécurité et des fraudes, les shonas votent en masse pour leur parti communautaire, en l'occurrence la ZANU de Robert Mugabe.

Le 4 mars 1980, la ZANU emporte 57 des 80 sièges réservés aux Noirs alors que les 20 sièges du collège électoral blanc sont tous remportés par le Front rhodésien de Ian Smith.

Le 18 avril 1980, Robert Mugabe devient le premier Premier ministre du nouvel État du Zimbabwe et Canaan Banana le premier président.

Premier ministre[modifier]

Au pouvoir, Mugabe tente de bâtir un nouveau pays sur la base d'une alliance entre Shonas et Ndébélés. Il tente d'incorporer la ZAPU dans sa ZANU et offre à Nkomo de prestigieux portefeuilles ministériels. Mais les revendications et les attentes sociales des Shonas l'entraînent à mener une politique plus nationaliste et ethnique.

En 1982, pour fêter les deux ans d'indépendance, il fait rebaptiser toutes les villes du pays à commencer par Salisbury, nommée désormais Harare.

En 1983, une rébellion ndébélé met fin à l'union ZANU-ZAPU et une guerre civile ensanglante la province du Matabeleland. Robert Mugabe y déploie « sa » 5e brigade, une force spéciale formée par des instructeurs nord-coréens. Nkomo est démis de ses fonctions. La répression de l'armée est brutale contre les Ndébélés. On dénombrera 10 000 victimes.

En 1987, un accord de paix met fin à la guerre civile et la ZAPU se fond enfin dans la nouvelle ZANU-PF. C'est également l'année de la fin du collège électoral blanc et de leur représentation assurée de 20 députés signifiant la fin du rôle politique des Blancs dans le pays. C'est aussi l'année où Mugabe prend la fonction de président de l'État aux pouvoirs élargis, abolissant le poste de Premier ministre.

Chef de l'État[modifier]

Robert Mugabe, en 1991.

En 1988, Mugabe nomme Nkomo au poste de vice-président. Depuis la fin de la représentation blanche et de la fusion de la ZAPU dans la ZANU, il n'y a plus d'opposition au parlement et le pays vit de facto sous un régime de parti unique.

En 1990, Robert Mugabe est élu président de la République et fait part de son intention d'imposer institutionnellement la ZANU comme parti unique et de transformer l'État en régime marxiste.

La chute du mur de Berlin et l'effondrement des régimes communistes en Europe empêchent cette mutation, du moins en droit.

En 1996, Mugabe est réélu presque sans opposition réelle suite au retrait de ses deux adversaires Abel Muzorewa et le révérend Ndabaningi Sitholé.

En 1997 Laurent-Désiré Kabila s'empare du pouvoir au Zaïre désormais rebaptisé Congo, mais doit rapidement faire face à la rébellion d'une partie de ses troupes soutenue par l'Ouganda et le Rwanda. Mugabe vole au secours du pouvoir de Kinshasa en envoyant 20 000 hommes au Congo au côté des Angolais et des Namibiens. Cette aide aura un prix : Mugabe obtiendra le droit d'exploitation d'une mine de cobalt (un des plus grands gisements du monde) et un accès au trafic de diamants 7. Le cuivre congolais de meilleure qualité viendra alimenter les industries zimbabwéennes. L'intervention militaire de Mugabe sera totalement financée par l'État congolais avec ces mêmes ressources minières.

Il décide alors de mettre en chantier une réforme agraire qui aboutira à l'expropriation des fermiers blancs lesquels assuraient 80% du revenu national. C'est par la violence que le processus se met en route au début des années 2000 alors qu'un fort mouvement de mécontentement, dû au ralentissement économique et à la corruption ostentatoire des gouvernants, se propage dans le pays.

Le despote contesté[modifier]

La réforme agraire[modifier]

Quand Robert Mugabe était arrivé au pouvoir, 70% des terres arables appartenaient à 4000 fermiers blancs. Robert Mugabe les avait rassurés contre toute expropriation forcée et quelques milliers d'hectares avaient été redistribués pacifiquement, souvent à des partisans du régime. L'expropriation des terres des fermiers blancs devrait se faire par une compensation financée par la Grande-Bretagne.

En 2000, Robert Mugabe soumet à la population une nouvelle constitution incorporant notamment une réforme agraire avec des expropriations sans compensation et surtout une amnistie permanente aux militaires et aux membres du gouvernement. Le 11 février 2000, contre toute attente, ce projet de nouvelle constitution soumis à référendum est rejeté par 54,7% des électeurs, manifestant pour la première fois la défiance de la population envers le vieux dirigeant.

Le 6 avril 2000, il passe outre ce vote pour imposer sa réforme agraire en recourant à la violence des milices de pseudo anciens combattants dirigés par Chenjerai Hunzvi. La plupart des fermiers blancs sont expropriés et une dizaine sont assassinés. Depuis lors, la plupart fuient à l'étranger. Cet exode des Blancs est suivi par celui d'environ 3 millions de Noirs8.

Robert Mugabe est personnellement mis en cause en 2001 par le Parlement européen pour sa responsabilité dans le chaos que connaît le pays et les « atteintes massives » aux droits de l'homme, à la liberté d'opinion et à la liberté de la presse. Dans sa résolution, le parlement pointe le « climat de peur et de désespoir » que ressent l'ensemble de la population, conséquence directe des interventions de Robert Mugabe9. Il est en particulier régulièrement accusé de nourrir les hostilités envers les fermiers blancs du Zimbabwe et de les rendre responsables de l'échec de sa réforme agraire pour sauver son pouvoir10.

Tandis que les troupes zimbabwéennes sont battues à plate couture au Congo,son homologue Laurent-Désiré Kabila est assassiné le 16 janvier 2001. Les troupes zimbabwéennes tiennent Kinshasa et Mugabe favorisera la venue au pouvoir du fils de Laurent-Désiré Kabila, Joseph Kabila.

 

par nitchalie

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